dimanche 17 mars 2024

Les 52 de Virginie: "plein"

Défi photo de Virginie, épisode 11 qui nous demande des clichés sur "plein" (moi j'ai aussi mis plein de clichés!).
Et, ça tombe bien, hier soir, nous avons fait le plein!

Le plein de bébés, dans un sens, puis dans l'autre, avec leurs papas.
Le plein de bons trucs à manger dans un salon rempli par tous les membres des Allet du Loir et Cher. 
Il y a eu aussi le plein de cadeaux, pour Emma et Gilles,...
...qui s'est empressé d'essayer le sien avec Bastien (qui adore faire le ménage!).
(Il avait déjà, dans l'après midi, reçu de quoi faire le plein de bestioles colorées pour son bassin!)
(Et, comme vous pouvez le constater, s'il prend des années, il ne perd rien en âneries (Bastien qui a voulu faire comme Papi a moyennement apprécié qu'il faille les lécher pour les coller...))
Le plein de gâteaux, faits maison, tarte au citron et charlotte au chocolat trop top! 
Merci Coline et Clovis!
 Le plein de nombres qui scintillent et de bougies qui vont bien à souffler...

Le plein de bons moments, et c'est chouette!

mercredi 13 mars 2024

Par monts et par vaux. En croisant quelques bestioles...

Les vacances se sont terminées par quelques jours plus...

Lumineux.
Même si, quand je suis allée marcher, avec Annaïg et Hervé, en visite, samedi, nous avons fait les deux derniers kilomètres sous la pluie...
Dimanche, avec Clovis, Coline et Arthur, nous avons eu beaucoup plus de chance.
Il faisait carrément beau!
N'est pas?
Et à quelques encâblures de la maison nous avons croisé une famille nombreuse qui s'est tenue à distance respectable tout en nous observant tranquillement (nous les avions déjà vus, la veille, avec Annaïg et Hervé (ne dites rien aux chasseurs, ils seraient capables de faire une battue (ils ont fait très peur à Annaïg et Hervé, un dimanche, poursuivant un sanglier qu'ils avaient blessé jusque dans leur bois alors qu'ils ont des chiens et qu'ils recevaient leurs petits enfants)))..
Tiens! En voilà un(e) qui s'envoie en l'air...
Est arrivé lundi... 
En creusant notre motivation, Suzanne et moi sommes parties à l'aube.
Et enfin il ne fait plus nuit quand je suis arrivée dans la petite ville où je travaille.
(Oh, une nouvelle bestiole!)
Alors je me suis décidée à faire ce que j'envisageais depuis un moment: je me suis garée loin de l'école pour pouvoir marcher pour y aller (et pour en revenir).
Suzanne, a qui j'avais parlé de mon intention, s'était insurgée: "Tu ne vas pas marcher toute seule dans le noir!"
Comment dire?
Il ne faisait pas noir et c'était super chouette de marcher seule...
Et puis, ce n'était pas bien long, pas bien loin.
(Hey, la version vivante de la fresque!)
Et... C'est reparti!
Avec une école en version jeux olympiques (semaine USEP, trop top! Avec ma cop Valérie, en plus!) et dans une cour réaménagée (une de mes élèves: "Ouha! Maintenant on a un petit parc!")
Retour...
J'ai marché, pris l'air. La classe a repris, tranquillement.
Et aujourd'hui c'est mercredi, nous attendons Apolline et Victor, pour aller à la médiathèque. Bastien est arrivé avec un "livre gros" et avec un cadeau de fête des mamies (qu'il n'avait pu me donner avant puisqu'il était chez nounou). 
Et, surtout, il est prêt, il s'est entrainé avec Simon, à dire: 
"Bon anniversaire Papi!"
(S'il n'y avait pas eu cette foutue réforme il aurait pu partir à la retraite aujourd'hui! (mieux vaut pas remuer le couteau dans la plaie et l'évoquer devant lui))

Bon anniversaire mon amour!

dimanche 10 mars 2024

Les 52 de Virginie: "piquant".

10ème semaine du défi photo de Virginie.
Où nous passons du douillet au piquant.  
Et il ne m'a pas fallu aller bien loin pour trouver...

Le "Jeanne Moreau" l'est particulièrement, mais, après une taille en règle,...
...il semble prêt à nous enchanter de ses roses blanches dans les semaines à venir.
Le "Pierre de Ronsard" nous prépare, lui, des bouquets de roses charnues juste à la porte de la maison (Victor: "Il est trop prés [de la porte]!").
À l'intérieur c'est hors d'atteinte, en haut du placard à vaisselle, des petits (et grands) que la plante (je ne connais pas son nom, jusque que ce n'est pas, contrairement à ce que l'on peut croire, un cactus mais une euphorbe), aux griffes acérées, de Victor trône.
C'est peu pratique pour l'arroser (je monte sur une chaise, et je tend le bras (steps et étirements)), la dépoussiérer, mais au moins Apolline qui maintenant grimpe partout, ne pourra pas s'y blesser!
Piquant, donc...
Tout comme devoir reprendre le chemin du travail, demain (blues du dimanche, un peu), alors que les vacances sont passées, vite, et en grande partie sous la pluie et le régime de la gastro...

vendredi 8 mars 2024

Beaux jours. Avec quelques couacs.

Il y a eu du vent, et du soleil.

J'ai surtout retenu le soleil.
Malgré tout, Simon avait dit qu'il viendrait m'aider s'il pleuvait, il est arrivé avec tout son barda. Et... A ronchonné, rien n'était prêt (ça...). 
Mais il a fait contre fortune bon cœur et, avec son niveau laser, a tracé les emplacements de la faïence. Il a passé la première couche d'apprêt, j'ai passé la seconde. Il m'a raisonné: il ne faut pas carreler sur le bois (entre l'évier et la crédence, là où l'eau tache). Il va me faire une plaque métallique "qui va bien". Quand la plaque sera installée nous pourrons carreler (et faire les joints, les plus fins possibles, en gris. Sur le noir et sur le blanc. Avec Simon les négociations sont âpres mais les concessions possibles des deux côtés. Je ne doute pas que ce sera très chouette (et grâce à l'aide de Simon je n'aurai pas sous les yeux, tous les jours, des défauts dus à ma maladresse ou à mon inexpérience).
A part ça... La gastro a continué à faire le tour: après Suzanne, c'est Arthur, puis Cynthia, puis Clovis qui ont été touchés. De son coté Apolline a fait une double otite. Et a appris à se mettre debout. Et a grimper sur ce qui est accessible (genre table basse).
Le linge a séché dehors... Pratique pour les draps. 
Et Suzanne en a des tous neufs pour aller avec sa "nouvelle" chambre.
La vider lui a pris quelques jours...
La lessiver l'a fait plonger dans le désespoir (jusqu'à ce que je vienne à la rescousse).
La repeindre, avec mon aide pour le haut des murs et le plafond, avec celle de Gilles pour le mur vert, lui a donné mal au dos.
(aménagement en cours)
Mais quelle satisfaction!!!
Entre deux couches et du nettoyage (Suzanne a appris que peindre s'est aussi, beaucoup, nettoyer (mais ne voit pas toujours où il faut nettoyer (genre le robinet, l'évier...)) j'ai taillé les rosiers oubliés par Victor, ramassé les branches coupées et oubliées par Gilles... La fin de semaine se profile avec du boulot chez Colette: Babeth a vidé le compost... Et il va falloir le débarrasser (et pour se faire aller à la déchèterie pour vider la remorque avant de la remplir puis la vider, puis...). Et nettoyer outils et...
Ménage de printemps, n'est ce pas?
Mouaip! De son côté la semaine de travail de Victor a été écourtée par un accident de travail: il a eu le pouce écrasé par la débroussailleuse qu'il était en train de décharger. 
SOS main a dit: "C'est pas cassé!". 
Et: "10 jours d'arrêt de travail. 
Emma: "Tu aurais pu faire ça il y a une semaine pour être en "vacances" avec nous"...
Nul n'est parfait, n'est ce pas?

Femme... Une parmi tant d'autres.

Je pose ça là, vous en faites...
Nous avions été invités chez une collègue de Gilles (ménage, aide de cuisine, service et plonge). Une maison pleine d'enfants (des ados glandeurs dans mon souvenir, une petite fille). Elle demande de l'aide, aller chercher quelque chose en cuisine, à son mari avachi dans le canapé. Il lui répond que non, il est fatigué, qu'il a un vrai boulot, lui (pas un boulot de bonne femme).
Alors elle se lève et fait...
J'ai eu immédiatement envie de partir (nous ne sommes plus jamais allés chez cette femme). Oh combien j'ai été désolée pour cette femme. Qui essayait quand même... Mais cédait. Implicitement acceptait que monsieur soit plus fatigué qu'elle, puisque son boulot était un "vrai" boulot (faire du ménage n'en était pas un, donc (?)).
Pour ces enfants, cette petite fille et ces ados glandeurs qui apprenaient par l'exemple. 
Quelques années après c'est cette même femme qui a demandé à Gilles ce qu'il allait faire de ses journées à la maison quand il a pris son premier congé parental.
Voilà, voilà...